Thérapeute et artiste
Mon nom est Joël Bassous
Voici ce que j’aimerais vous dire sur moi, en toute simplicité, pour que fassions connaissance.
D’abord, je suis artiste plasticien. Très jeune, j’ai découvert la photographie et la peinture à l’huile.
Je pensais devenir architecte… mais un ami m’a proposé de rentrer dans une agence de publicité. L’idée m’a séduit. La publicité se développait, tout restait encore à inventer. Ce fut une époque très créative, stimulante.
Mon premier job sera donc au studio de création de cette agence de pub. J’y apprends le graphisme, le dessin des lettres, la mise en page, les techniques de fabrication…
Quinze ans plus tard, je deviens designer pour la presse magazine. A cette époque, je rencontre de nombreux artistes peintres, sculpteurs, mais aussi des musiciens, comédiens, metteurs en scène, cinéastes…
Artiste plasticien
Fin 2006, je décide de faire une pause dans ma vie professionnelle et je découvre Grignan, ce charmant village de la Drôme provençale.
Je reviens à des créations personnelles et en 2010, j’expose sur le thème du château de Grignan : 30 tableaux, sculptures et photographies.
Par la suite, je crée les « trophées », des animaux imaginaires : les cerfgliers, cyberchamois, cyberchevreuils. J’enchaîne les expos : SIAC de Marseille, Grenoble, Toulouse, Lyon, Lisbonne… jusqu’à New York en 2018.
Sophrologue
Mais sur mon chemin, je rencontre un gros problème : je me paralyse peu à peu. Pour résumer l’histoire, une intervention de neurochirurgie me sauve de la tétraplégie. La rééducation est assez longue, je dois réapprendre à marcher, ma main gauche est bloquée, je ne peux même pas tenir un stylo : impossible de peindre… Seul, je n’arrive pas à m’en sortir.
Sur les conseils d’un praticien de médecine chinoise, je découvre la sophrologie. Je pars à la recherche d’un équilibre corps-esprit. Progressivement, je dépasse les douleurs physiques, l’angoisse et je retrouve le sommeil… Je peux enfin me remettre à la peinture, à la photo…
Je peux aussi reprendre mes voyages à la rencontre d’autres cultures. Plus que jamais, je m’aperçois que le vrai bonheur est fait de choses simples : un sourire, une main qui se tend, un chant…
Par la suite, je décide de suivre une formation sur plusieurs années : sophrologie caycédienne, gestion du stress, sophrologie ludique… et je crée mes premiers ateliers. Je désire transmettre mon expérience et permettre à d’autres personnes de dépasser le stress, la déprime, à reprendre confiance.
C’est exactement la mission qui m’habite aujourd’hui : aider les autres à être mieux dans leur vie… parce que je sais qu’on peut transformer sa réalité avec les bonnes méthodes et le bon accompagnement.